mercredi 25 janvier 2006
Les ours en peluche sont une de mes grandes passions.

Ne me demandez pas pourquoi. N'essayez même pas de trouver une raison psychanalytique à la chose (je sais le symbolisme fumeux de l'ours en lieu et place du sexe de la mère). Je trouve simplement une indéniable source de poésie en ce mamifère de mohair (lorsqu'il vit confortablement, sinon il se vêt de fibres moins coûteuses). J'en ai toute une collection. Je n'ai pas commencé de collection. Je me suis simplement rendue compte, un jour, que je les aimais et qu'ils avaient commencé à envahir la maison où je vis. Il y a en dans chaque pièce. Parfois, ce sont des pièces uniques (faites par les doigts de fées d'une dame), parfois ils sont plus modestes, voire très abîmés, mais je les aime tous à égalité, bien que différemment. La plupart d'entre eux m'ont été offerts par une seule et unique personne.

Pour la petite histoire :
Le teddy bear, est associé au président Theodore Roosevelt (1858–1919). En effet, celui–ci était parti à une chasse à l’ours mais, après trois jours de marche, il était sur le point de revenir bredouille. Les organisateurs de la chasse trouvèrent finalement un très vieil ours qu’ils acculèrent et ligotèrent, après avoir lancé les chiens sur lui, afin que le Président pût le tuer sans peine. Roosevelt, peut–être attendri par le pauvre animal, refusa de tirer. Mais la bête était blessée grièvement et l’on dut l’achever… Une variante plus optimiste de l’histoire dit que l’ours fut relâché. Un caricaturiste politique, Clifford Berryman, eut vent de cette histoire et fit un dessin pour l’illustrer dans la presse. C’est ainsi que cet ours fut associé au nom de Roosevelt. Ensuite, un marchand (Morris Michtom) eut une idée de génie : il prit un ours en peluche fabriqué par sa femme et l’exposa en vitrine. Il demanda au Président l’autorisation de le nommer Teddy Bear. L’homme créa une entreprise fructueuse. Mais l’ours fut popularisé par Margarete Steiff, une allemande, créatrice de jouets. Le Teddy Bear originel était doté d’un museau proéminent et allongé.

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Dilettante. Pirate à seize heures, bien que n'ayant pas le pied marin. En devenir de qui j'ose être. Docteur en philosophie de la Sorbonne. Amie de James Matthew Barrie et de Cary Grant. Traducteur littéraire. Parfois dramaturge et biographe. Créature qui écrit sans cesse. Je suis ce que j'écris. Je ne serai jamais moins que ce que mes rêves osent dire.
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