lundi 26 mars 2007
Indice en rapport avec ma "terrible aventure" :



[Source : Beinecke Library]

Un portrait de Barrie peint par Peter Scott, le fils du très célèbre explorateur Sir Robert Falcon Scott. Peter Scott était le filleul de Barrie et Jamie était un proche ami de Sir Robert Falcon Scott. A sa mort, ce dernier recommanda sa femme et son fils à la protection de Barrie. Jamie écrivit une introduction au journal de son ami.



TO BE CONTINUED...
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Les cygnes des Jardins de Kensington dont parle Barrie dans The Little White Bird.


"Parfois, des cygnes abordaient l’île et il leur donnait toute sa nourriture de
la journée, afin de les questionner à ce sujet. Dès qu’il n’avait plus rien à
leur donner à manger, ces odieuses créatures se gaussaient et s’éloignaient."
Ils se caressent avec des coups de tête et forment un c(h)oeur des plus harmonieux l'instant d'après. Sont-ils amoureux ou en colère ? N'est-ce pas la même chose dans le fond ?




Je dépose au bord de votre prunelle des petites vidéos des Jardins de Kensington (Clips réalisés en amateur ! Je suis, par avance, confuse de la qualité de ces petits films... Et la compression que j'ai dû effectuer pour les mettre en ligne n'a rien arrangé.) afin de vous donner l'illusion d'une incursion au sein de la mythologie de James Matthew Barrie.
La promenade est dédiée à mon amie Fauna, qui saura pourquoi.
Lorsque j'ai posé mes pas ici et là, j'ai pensé à certaines personnes que j'aime. J'aurais adoré, Mélanie, que tu sois ici. Et, toi, Petite Marie...

* Bookcrossing :



Bien sûr, les anglais ne peuvent qu'être étonnés de notre manière de prononcer à la "franglaise" le nom du héros, Peter Pan. Pourquoi prononcer à l'anglaise le prénom et à la française le nom ? Je devrais, si j'étais logique, prononcer "Pan" à l'anglaise, mais je crois que j'ai honte parfois de mimer l'accent anglais devant des français.
J'ai assisté à la capture du livre. Une jeune anglaise blonde, ravissante, accompagnée de sa maman est partie avec ce livre, qui n'est plus le mien. Peut-être pourrais-je suivre les pérégrinations de cet exemplaire via bookcrossing.com.

* Ma pensée à 14h45 précises :


* Petit tour des jardins :


"Mais les canards eux-mêmes, sur le Bassin Rond, ne sont pas en mesure de lui
expliquer ce qui rend le Bassin si intéressant aux yeux des enfants. Toutes les
nuits, les canards oublient les événements de la journée, excepté le nombre de
morceaux de gâteau qui leur ont été jetés. Ce sont des créatures gourmandes et
elles affirment que le gâteau n’est plus ce qu’il était dans leur jeune âge."


* Clin d'oeil :



* Une petite fille délicieuse (si j'étais un homme, on m'accuserait de je ne sais quoi, car il est de mauvais ton d'aimer les enfants à notre époque... Or, je suis une fille et je n'aime pas les enfants. Du moins, je prétends tout ceci. Mais c'est sans compter que les femmes sont plus vicieuses que les hommes, y compris dans ce domaine... Un des plus grands tabous de notre époque, qui ne semble pas prêt de s'effriter) :


* Que serait ma vie aujourd'hui si j'avais été comme cette petite fille, insouciante (l'est-elle ?) et aimée de ses parents ? Je suis persuadée qu'elle serait moins belle. Être en retard de son enfance est le gage pour moi de ne jamais mourir de lassitude.





"Et il n’avait pas, comme j’eus à Combray dans mon enfance, des journées heureuses pendant lesquelles s’oublient les souffrances qui renaîtront le soir." (Marcel Proust)



TO BE CONTINUED...
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  • Une graphomane séparée de son ordinateur continue d'écrire. Ce JIACO n'est qu'un journal illustré qui, au départ et encore aujourd'hui, n'est qu'un lieu égoïste où je mets mes idées à sécher. Je ne me soucie pas d'être lue en vérité, même si j'écris dans l'idée qu'une poignée de gens que j'aime me liront.
    Chaque soir, j'ai donc consciencieusement rédigé mon journal de bord dans un très beau cahier que m'a offert mon amie "E." à l'âme faite de dentelle. J'avais envie d'emporter un peu d'elle en voyage et j'ai pensé à étrenner son très beau présent de la manière la plus symbolique qui soit, avec Barrie.

    Je suis persuadée qu'elle aimera l'usage que j'en ai fait.


    Nous avons logé à Baker Street, dans un bel hôtel, confortable et un peu luxueux.  Je ne voyage jamais en seconde catégorie. Pour le même prix, je préfère quatre jours dans un bel endroit plutôt que deux semaines dans un endroit miteux ou très moyen. Je voyage peu mais avec ce que j'estime être une élégance des lieux, de l'instant, dans un cadre propice à la rêverie et à la réflexion. Etant d'un naturel craintif et maladroit, les objets et les endroits doivent être encourageants, sinon je dépéris. Il faut que l'endroit où je vais soit de la même teinte que celui que je quitte.



    A quelques mètres du Musée Sherlock Holmes, où je m'étais déjà rendue dans le passéj'ai dressé le plan d'attaque de nos promenades, force cartes à l'appui, afin de ne pas perdre une goutte de notre précieux temps.

    15 Old Cavendish Street
    1890

    14 Gloucester Walk on Campden Hill
    (1892, il y logea avec sa sœur Maggie)


    133 Gloucester Road South Kensington
    (1895-1902) domicile conjugal

    100 Bayswater Road, Leinster Corner
    (1902-1909) domicile conjugal - DIVORCE de Barrie et de Mary A.

    3 Adelphi Terrace
    1-3 Robert Street
    Adelphi, WC2
    (1909- 19 juin 1937)

    Duke of York’s Theatre
    St Martins Lane
    le 27 décembre 1904 : Peter Pan

    88 Portland Place
    Sir and Lady Lewis (le 31 décembre 1897, Barrie y rencontre Sylvia pour la première fois)

    23 Kensington Park Gardens
    Demeure des Llewelyn Davies


    The Garrick Club
    15 Garrick Street


    Dickens Museum
    Opening Hours
    The Museum is open from Mondays - Saturdays
    10.00-17.00
    Sundays11.00-17.00
    48 Doughty Street


    Chaque étape devait nous permettre de reconstituer la figure d'un Londres qui n'existe plus mais qui, cependant, vit encore si l'on se donne la peine de regarder attentivement sous les apparences. Il suffit de soulever le rideau en feuille de soie qui n'est qu'un trompe-l'oeil... Notre quartier de résidence est stratégiquement situé pour mes voyages au centre du Londres barrien, qui dessine un cercle presque parfait en plein coeur de la ville.

    Mais je n'avais pas tout prévu...


    Bientôt, c'est-à-dire le dernier jour de notre pèlerinage, je devrai frapper à la porte du célèbre détective, car lui seul est en mesure de retrouver certain objet que j'ai perdu lors de ma "terrible aventure"...





    TO BE CONTINUED...
    (A SUIVRE...)

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  • Les roses du Pays d'Hiver

    Retrouvez une nouvelle floraison des Roses de décembre ici-même.

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