Quelques chapitres...

dimanche 4 juin 2006

Doyle parle de Barrie

Petite note introductive aux parodies bariennes de Sherlock Holmes :
James Barrie est l’un de mes plus vieux amis au sein du milieu littéraire. Je l’ai connu l’année même – ou la suivante – où nous nous sommes tous les deux installés à Londres. Il venait juste de mettre le point final à sa Fenêtre à Thrums et, à l’instar du monde entier, j’acclamai ce livre. Quand je donnai des conférences en Ecosse, en 1893, il m’invita à Kirriemuir, où je restai quelques jours avec sa famille – le type même de ces gens magnifiques qui ont fait de l’Ecosse ce qu’elle est. Son père était un brave homme, mais sa mère incarnait l’alliance merveilleuse du cœur et de l’esprit, une combinaison rare qui l’élevait aussi haut que ma propre mère. Suite ici.