Rémi Prin est un plagiaire ! Je le dis haut et fort. Le spectacle de sa compagnie, Le Tambour des Limbes, autour du Petit Oiseau blanc est, jusqu'à preuve du contraire, un VOL de mon travail.
Récit de l'affaire ci-dessous :
http://rosesdedecembre.blogspot.fr/2015/07/le-petit-oiseau-blanc-ou-la-naissance.html
Ajout du 26 janvier 2018 :
PLAGIAT, suite... et fin ?
M. Rémi Prin, de la Compagnie le Tambour des Limbes, est un jeune homme de peu.
De peu d’honneur.
De peu de mémoire.
De peu de talent.
Et surtout, hélas, de peu d’honnêteté.
M. Rémi Prin est TOUJOURS un plagiaire et je n'ai pas peur de l'écrire. Voir ici les preuves du vol dont j'ai été et suis toujours victime : https://rosesdedecembre.blogspot.fr/p/le-petit-oiseau-blanc…
Je comprends que, derrière son écran, il tremble, comme le voleur qui jouit du forfait qu’il a commis, mais le cœur serré par la crainte du gendarme. D'où la copie de la lettre adressée à mon avocate, il y a quelques mois, que je joins à ce billet. Lui et moi, nous savons la vérité : il a volé mon travail, il a profité du travail que mon esprit trop généreux et naïf lui a offert et il croit toujours que, parce que mon travail était « bénévole », il n’est pas soumis aux droits d’auteur ? Il croit donc que le don permet le pillage ? Il ne fait que montrer son absence totale de moralité et son cynisme en déclarant cela. Au contraire, lorsque l’on vous offre du temps (quatre ans et demi !) pour donner le jour à une œuvre, on devrait être encore mille fois plus reconnaissant et respectueux de la parole donnée. Mais du mot « honneur », M. Prin, ignore tout le sens. M. Prin me doit beaucoup, je ne lui dois rien. Je l’obligerai, néanmoins, à me rendre raison s'il persiste dans son oeuvre de plagiaire. Il ne me fera pas taire.
Attaquez-moi en justice pour diffamation (je ne diffame pas, je dis la vérité et rien que la vérité), M. Prin ; et, moi, je vous attaquerai pour plagiat. Les frais de justice coûtent cher (environ 30 000 euros pour l’affaire qui nous lie à jamais, si vous poursuivez vos manigances frauduleuses), mais je suis prête à aller au bout du processus. Nous verrons bien à qui de nous deux la justice donnera raison. J’ai toutes les preuves, certaines certifiées par huissier (captures d’écran de choses qui, aujourd’hui, ô miracle, ont disparu). Je n’ai que la vérité pour arme, mais il ne faut pas toujours sous-estimer la puissance de cette dernière. Votre mauvaise foi suinte de tous vos actes.
Une dernière chose : M. Prin, non content d’être un pitoyable voleur, vous êtes fort peu intelligent. Vous avez envoyé une lettre à mon avocate pour lui avouer que vous aviez donc utilisé toutes mes idées pour votre précédente mise en scène (cage à oiseau, toise, trinité des personnages, etc.), vos dernières représentations du Petit Oiseau blanc, alors que vous juriez déjà vos grands dieux que tout était nouveau (il suffit de lire ce que vous aviez écrit sur votre page Facebook et de voir les images de la mise en scène) ! En effet, vous dites que vous n’en ferez plus usage. J’en suis fort aise et j'aimerais de tout coeur y CROIRE. Faites lire cette lettre à ceux qui vous ont accordé un « prix du jury », à ceux qui ont accueilli votre spectacle. Moi, je la leur ferai lire, puisque vous avouez ENFIN avoir usé précédemment de ce qui ne vous appartenait pas. Ce qu’ils ont apprécié est le fruit de mon travail. Je ne vous laisserai jamais en paix, tant que vous userez de mon travail. Ce n’est pas une menace, mais une promesse. Montrez-nous la nouvelle traduction intégrale du roman de Barrie que vous avez effectuée (ou commanderez à quelqu'un, alors que vous prétendiez déjà, dans un précédent courrier et dans une version ancienne de votre site, en avoir une nouvelle !!!) ou ferez écrite (bénévolement ? parce que payer vos collaborateurs, vous n’en avez pas les moyens) par quelqu’un (son identité doit être donnée, c’est une chose légale), car une adaptation d’après une traduction doit préciser quelle est cette traduction qui sert de base. La mienne était la seule et unique jamais publiée en France, vous comprendrez que l’on ait des doutes… Traduisez le roman, puis comparons ! Et rions, jaune. Oui, rions, car dans le "canevas" que vous avez déposé, il est des choses qui m’appartiennent et ne sont nullement de Barrie, comme cette expression : « huit ans et une demi-heure »… Le rouge ne vous monte pas au front ? Eh oui, monsieur, ce n’est pas dans le texte de Barrie. Quant à l'idée des boîtes, si elle est bien évoquée dans le roman, elle n'a jamais été développée comme je l'ai fait. Je n’aurai aucun mal à prouver votre malhonnêteté. Je ne diffame pas, je ne dis que la vérité, que tout un chacun peut trouver en se reportant à mon travail publié et au texte de Barrie. C’est simple, clair et net. Tout le contraire de vous.
Déposez ce que vous voulez à la SACD. Cela ne vous rend pas propriétaire pour autant de ma traduction (que vous avez essayé d'obtenir en douce, en désespoir de cause, je le rappelle ; mon éditeur peut en témoigner) ni de ma lecture personnelle de l'oeuvre barrienne.
L’œuvre du merveilleux J. M. Barrie appartient au domaine public, mais non pas mon travail, que cela vous plaise ou non.
Et, tant que nous y sommes, avez-vous enfin obtenu l’autorisation des ayants droit de Stanislas Lem pour Solaris, ainsi que celle du traducteur français ? Il est étrange que le nom de la traduction que vous utilisez pour « écrire » votre adaptation théâtrale n’apparaisse nulle part. Ou ai-je mal lu ? À partir de quel texte français avez-vous écrit l'adaptation ? Stanislas Lem n'écrivait pas en français... Denoël m’a certifié, l'an passé (avril 2017), que vous n’aviez reçu aucune autorisation ("Concernant votre requête, je vous confirme que M. Rémi Prin a bien fait une demande pour l’exploitation de cette traduction. Nous l’avons renvoyé vers l’agent de l’auteur car nous ne possédons les droits théâtre que sur la traduction et non sur l’œuvre elle-même. Et depuis pas de retour.") et, pourtant, vous faisiez déjà la promotion de cette pièce en devenir à ce moment-là !!! Je ne doute pas que vous vous soyez mis en règle depuis. Je l’espère pour vous, en tout cas. Mais tout cela manque de sérieux… On ne travaille pas sur une œuvre dont on n’a pas obtenu AU PRÉALABLE les droits ! Mais il est vrai que, pour vous, les droits d’auteur cela n’existe guère, sauf lorsqu’il s’agit de gagner de l’argent avec le travail des autres !
Vous ne valez même pas le mépris que vous pourriez m’inspirer. J’ai réellement pitié de votre âme damnée et ma pire vengeance sera, un jour, de vous pardonner. Vous êtes encore presque jeune et terriblement creux et vide. Pauvre petit homme !
Bon vent, mais n'utilisez pas le moindre fragment de mon travail, sinon nous irons au tribunal ! Adieu !
M. Rémi Prin, de la Compagnie le Tambour des Limbes, est un jeune homme de peu.
De peu d’honneur.
De peu de mémoire.
De peu de talent.
Et surtout, hélas, de peu d’honnêteté.
M. Rémi Prin est TOUJOURS un plagiaire et je n'ai pas peur de l'écrire. Voir ici les preuves du vol dont j'ai été et suis toujours victime : https://rosesdedecembre.blogspot.fr/p/le-petit-oiseau-blanc…
Je comprends que, derrière son écran, il tremble, comme le voleur qui jouit du forfait qu’il a commis, mais le cœur serré par la crainte du gendarme. D'où la copie de la lettre adressée à mon avocate, il y a quelques mois, que je joins à ce billet. Lui et moi, nous savons la vérité : il a volé mon travail, il a profité du travail que mon esprit trop généreux et naïf lui a offert et il croit toujours que, parce que mon travail était « bénévole », il n’est pas soumis aux droits d’auteur ? Il croit donc que le don permet le pillage ? Il ne fait que montrer son absence totale de moralité et son cynisme en déclarant cela. Au contraire, lorsque l’on vous offre du temps (quatre ans et demi !) pour donner le jour à une œuvre, on devrait être encore mille fois plus reconnaissant et respectueux de la parole donnée. Mais du mot « honneur », M. Prin, ignore tout le sens. M. Prin me doit beaucoup, je ne lui dois rien. Je l’obligerai, néanmoins, à me rendre raison s'il persiste dans son oeuvre de plagiaire. Il ne me fera pas taire.
Attaquez-moi en justice pour diffamation (je ne diffame pas, je dis la vérité et rien que la vérité), M. Prin ; et, moi, je vous attaquerai pour plagiat. Les frais de justice coûtent cher (environ 30 000 euros pour l’affaire qui nous lie à jamais, si vous poursuivez vos manigances frauduleuses), mais je suis prête à aller au bout du processus. Nous verrons bien à qui de nous deux la justice donnera raison. J’ai toutes les preuves, certaines certifiées par huissier (captures d’écran de choses qui, aujourd’hui, ô miracle, ont disparu). Je n’ai que la vérité pour arme, mais il ne faut pas toujours sous-estimer la puissance de cette dernière. Votre mauvaise foi suinte de tous vos actes.
Une dernière chose : M. Prin, non content d’être un pitoyable voleur, vous êtes fort peu intelligent. Vous avez envoyé une lettre à mon avocate pour lui avouer que vous aviez donc utilisé toutes mes idées pour votre précédente mise en scène (cage à oiseau, toise, trinité des personnages, etc.), vos dernières représentations du Petit Oiseau blanc, alors que vous juriez déjà vos grands dieux que tout était nouveau (il suffit de lire ce que vous aviez écrit sur votre page Facebook et de voir les images de la mise en scène) ! En effet, vous dites que vous n’en ferez plus usage. J’en suis fort aise et j'aimerais de tout coeur y CROIRE. Faites lire cette lettre à ceux qui vous ont accordé un « prix du jury », à ceux qui ont accueilli votre spectacle. Moi, je la leur ferai lire, puisque vous avouez ENFIN avoir usé précédemment de ce qui ne vous appartenait pas. Ce qu’ils ont apprécié est le fruit de mon travail. Je ne vous laisserai jamais en paix, tant que vous userez de mon travail. Ce n’est pas une menace, mais une promesse. Montrez-nous la nouvelle traduction intégrale du roman de Barrie que vous avez effectuée (ou commanderez à quelqu'un, alors que vous prétendiez déjà, dans un précédent courrier et dans une version ancienne de votre site, en avoir une nouvelle !!!) ou ferez écrite (bénévolement ? parce que payer vos collaborateurs, vous n’en avez pas les moyens) par quelqu’un (son identité doit être donnée, c’est une chose légale), car une adaptation d’après une traduction doit préciser quelle est cette traduction qui sert de base. La mienne était la seule et unique jamais publiée en France, vous comprendrez que l’on ait des doutes… Traduisez le roman, puis comparons ! Et rions, jaune. Oui, rions, car dans le "canevas" que vous avez déposé, il est des choses qui m’appartiennent et ne sont nullement de Barrie, comme cette expression : « huit ans et une demi-heure »… Le rouge ne vous monte pas au front ? Eh oui, monsieur, ce n’est pas dans le texte de Barrie. Quant à l'idée des boîtes, si elle est bien évoquée dans le roman, elle n'a jamais été développée comme je l'ai fait. Je n’aurai aucun mal à prouver votre malhonnêteté. Je ne diffame pas, je ne dis que la vérité, que tout un chacun peut trouver en se reportant à mon travail publié et au texte de Barrie. C’est simple, clair et net. Tout le contraire de vous.
Déposez ce que vous voulez à la SACD. Cela ne vous rend pas propriétaire pour autant de ma traduction (que vous avez essayé d'obtenir en douce, en désespoir de cause, je le rappelle ; mon éditeur peut en témoigner) ni de ma lecture personnelle de l'oeuvre barrienne.
L’œuvre du merveilleux J. M. Barrie appartient au domaine public, mais non pas mon travail, que cela vous plaise ou non.
Et, tant que nous y sommes, avez-vous enfin obtenu l’autorisation des ayants droit de Stanislas Lem pour Solaris, ainsi que celle du traducteur français ? Il est étrange que le nom de la traduction que vous utilisez pour « écrire » votre adaptation théâtrale n’apparaisse nulle part. Ou ai-je mal lu ? À partir de quel texte français avez-vous écrit l'adaptation ? Stanislas Lem n'écrivait pas en français... Denoël m’a certifié, l'an passé (avril 2017), que vous n’aviez reçu aucune autorisation ("Concernant votre requête, je vous confirme que M. Rémi Prin a bien fait une demande pour l’exploitation de cette traduction. Nous l’avons renvoyé vers l’agent de l’auteur car nous ne possédons les droits théâtre que sur la traduction et non sur l’œuvre elle-même. Et depuis pas de retour.") et, pourtant, vous faisiez déjà la promotion de cette pièce en devenir à ce moment-là !!! Je ne doute pas que vous vous soyez mis en règle depuis. Je l’espère pour vous, en tout cas. Mais tout cela manque de sérieux… On ne travaille pas sur une œuvre dont on n’a pas obtenu AU PRÉALABLE les droits ! Mais il est vrai que, pour vous, les droits d’auteur cela n’existe guère, sauf lorsqu’il s’agit de gagner de l’argent avec le travail des autres !
Vous ne valez même pas le mépris que vous pourriez m’inspirer. J’ai réellement pitié de votre âme damnée et ma pire vengeance sera, un jour, de vous pardonner. Vous êtes encore presque jeune et terriblement creux et vide. Pauvre petit homme !
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- Dilettante. Pirate à seize heures, bien que n'ayant pas le pied marin. En devenir de qui j'ose être. Docteur en philosophie de la Sorbonne. Amie de James Matthew Barrie et de Cary Grant. Traducteur littéraire. Parfois dramaturge et biographe. Créature qui écrit sans cesse. Je suis ce que j'écris. Je ne serai jamais moins que ce que mes rêves osent dire.
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